maladies  des chats


vous devez savoir que le maine coon doit etre suivie  pour des maladies génétique entre autre  . donc tous les reproducteurs doivent etre testés par adn et par echo afin de pouvoir certifié leur etat de santé et celle de leur futurs chatons a venir . ces maladies sont en regle generale heriditaire et transmissible et sont des maladies qui sont helas mortel et incurable  et cela a n importe quel age que se soit chatons ou adulte . voici des liens  qui vous servirons a connaitre ses maladies :

hcm :
myocardiopathie hypertrophique
http://angel.oflgv.com/maladiesMC/hcm.htm
http://pawpeds.com/healthprogrammes/hcm_fr.htm

sma: L'Atrophie Musculaire Spinale
http://pawpeds.com/healthprogrammes/sma_fr.htm
http://angel.oflgv.com/maladiesMC/sma.ht

pkd : polykystose rénale
http://www.pawpeds.com/pawacademy/health/pkd/index_fr.htm
http://angel.oflgv.com/maladiesMC/pkd.htm

pkdef :Déficience en Pyruvate Kinase

La déficience en pyruvate kinase ou PKDef est une maladie héréditaire susceptible de frapper abyssins , somalis  et aussi le maine coon mais rencontrée également chez le chien ou encore les chats ordinaires.                               
Qu'est que c'est concrètement?

La pyruvate kinaze est une enzyme permettant aux globules rouges de synthétiser l'énergie nécessaire à leur survie. Lorsque cet enzyme vient à manquer, la durée de vie des globules rouge est dramatiquement diminuée, ce qui conduit à leur raréfaction dans l'organisme, on parle alors d'anémie.
Mais celle-ci ne saute pas forcément aux yeux, car l'organisme peut rapidement compenser la perte de cellules par une production augmentée et l'anémie passer ainsi inaperçue.

La maladie s'accompagne parfois d'autres symptômes aussi imprécis qu'une fatigue passagère ou encore une légère perte d'appétit, pas toujours décelable par le maître.
La plupart du temps, la PKdef peut n'être découverte que tardivement dans la vie d'un chat... puisqu'il existe que peu de forme montrant une anémie brutale et sévère, pouvant conduire rapidement au décès de l'animal.

Heureusement nous disposons aujourd'hui d'un moyen fiable pour dépister la présence de la PKdef: le test ADN. Il est effectué à partir d'une petite quantité de sang (prise de sang) ou de salive (écouvillon), le résultat est rapide et sur.
               
                                Comprendre le test PKDef....

La PKdef est héréditaire (transmise par les parents), la transmission est dite autosomale (non liée au sexe) et récessive (besoin des deux allèles malades) .

Le chaton qui aura hérité de ce caractère de chacun de ses deux parents est dit homozygote et il dévellopera la maladie. Ce chat est dit "atteint" et sur le résultat de son test sera mentionné: PK/PK

Le chaton qui n'aura reçu qu'une allèle défaillante (seul un des parents lui transmet le défaut) est hétérozygote. Il ne sera pas malade mais pourra transmettre le gène défectueux à sa descendance.
On le qualifie de "porteur" et sur son test on verra: N/PK

Un chat sain est dit "indemne" et son test mentionnera: N/N

Comme les chats porteurs (N/PK) ne développent pas la maladie, et comme on met parfois des mois ou des années à identifier un chat atteint (PK/PK), on imagine sans difficultés les conséquences sur la descendance et la façon dont la maladie a pu se répandre largement avant d'être découverte...

                                La solution.....

Tester les reproducteurs pour connaitre leur statut PKDef afin ne pas faire de mariage qui endendrerait des chatons malades (PK/PK).
fiv et felv :
La leucose féline et le syndrome d’immunodéficience féline sont deux maladies contagieuses provoquées par des virus différents, le virus leucémogène félin (ou FeLV) et le virus de l’immunodéficience féline (ou FIV), appartenant tous deux à la même famille des rétrovirus.
Ces deux maladies affectent exclusivement les chats. Aucun cas de transmission à l’homme ou au chien n’a été décrit.
FIV comme FeLV restent encore, à l’heure actuelle, sans traitement et sont mortels à 100 % — le FeLV étant une des premières causes de mortalité chez le chat.

 Des infections qui restent cachées pendant plusieurs années
Au moment même de la contamination, votre chat peut présenter quelques symptômes discrets et passagers : baisse de forme, fièvre, extinction de voix (due à la multiplication du virus du FeLV dans les ganglions pharyngiens).
Passé cet épisode, qui peut rester inaperçu, s’écoule une phase qualifiée d’asymptomatique, pendant laquelle votre chat est porteur du virus mais ne présente aucun trouble.
Cette phase silencieuse peut durer de quelques mois à quelques années pour le FeLV (mais rarement au-delà de 4 années), et se prolonger pendant plusieurs années pour le FIV (jusqu’à parfois 10 ans). Durant cette période, et sur les conseils de votre vétérinaire, il est important de poursuivre les vaccinations habituelles contre le coryza et le typhus.

 Une évolution inexorable
Une fois les symptômes du FeLV ou du FIV déclarés, la dégradation de l’état général peut être très rapide, avec des anémies, le développement de tumeurs ou de leucémies. En phase terminale, coryza, gingivite et gastroentérite viennent aggraver la pathologie du chat immunodéprimé.

 Des maladies mortelles
Il n’existe pas, aujourd’hui, de traitement spécifique contre l’infection par le virus leucémogène félin (FeLV) ou par le virus de l’immunodéficience féline (FIV).
C’est la raison pour laquelle la prévention reste la meilleure des protections.

 Des mode de transmission bien identifiés
Le virus leucémogène félin (FeLV) se transmet par les sécrétions : la salive (lors de léchage mutuel), les expectorations, mais aussi les matières fécales ou l’urine (lors de l’utilisation de bacs à litière communs), et le lait lors de l’allaitement des chatons. La transmission au cours de la gestation elle-même est fréquente entre la mère contaminée et sa portée.
Le FIV, en revanche, ne se transmet que lors de morsure profonde, entraînant un contact direct entre les sangs des deux chats, à l’occasion d’une bagarre. La transmission du virus FIV de la mère à ses petits est très rare.

 Des facteurs de risque connus
Les risques auxquels sont soumis votre animal varient en fonction de son sexe, de son mode de vie et de son âge.
Les chats entiers, mâles, ayant accès à l’extérieur, sont les plus exposés puisque leur vagabondage les conduit à faire des rencontres et à se bagarrer dès leur puberté, puis lors de la saison des amours.
C’est donc dès son plus jeune âge que vous devez tester et protéger votre chat.

 Des techniques de dépistage efficaces
Le dépistage du FeLV et du FIV, s’effectue grâce à une prise de sang. Pour le confort de votre chat, il a été mis au point des tests simples et pratiques, réalisables par votre vétérinaire au cours de la consultation. Quelques gouttes de sang suffisent à pratiquer le test de dépistage de l’un et l’autre des virus.
Rapides, ces test permettent à votre vétérinaire de vous rassurer et de pouvoir vacciner votre chat, ou d’établir en quelques minutes un diagnostic fiable de l’infection.

 La vaccination, la meilleure protection
Depuis la fin des années 80, des vaccins efficaces et sûrs ont été mis au point contre la FeLV. Avant de procéder à la vaccination, il est recommandé de réaliser un test de dépistage préalable
Actuellement, il n’existe pas de vaccin contre le FIV.
La stérilisation, dès la puberté (vers l’âge de 7 mois), reste la meilleure des protections puisqu’elle limite les comportements à risque, vagabondage, bagarres et morsures, à l’origine de la contamination.
pif : peritonite infectieuse feline
La Péritonite Infectieuse Féline (PIF) est une affection mortelle du chat causée par un coronavirus. Cette maladie infectieuse est souvent précédée d’une phase silencieuse sub-clinique qui peut précéder de quelques années l’apparition des signes cliniques.

La PIF est une maladie virale qui touche le chat. Le virus est de la famille des coronavirus, dont les éléments les plus communs provoquent habituellement des diarrhées plutôt bénignes.
La PIF touche essentiellement les chats jeunes, de moins de 2 ans, et les chats âgés. Elle ne fait pas de distinction entre les chats mâles et les chats femelles. En revanche elle atteint plus volontiers les chats de races pures. C’est une maladie d’effectifs, c’est-à-dire qu’elle touche les chats vivant en communauté (élevages en particulier).

Les voies naturelles de contamination sont les voies oro-fécale et oro-nasale : ingestion ou inhalation de particules virales excrétées par les animaux porteurs par les voies fécale ou nasale. Les chatons sont contaminés après sevrage. Un élevage sain peut être contaminé par l’introduction dans l’élevage d’un reproducteur atteint, ou de sujets qui ont été contaminés au cours d’une exposition ou lors de saillies. La contamination est également possible si les chats de l’élevage ont une libre circulation à l’extérieur. Une fois introduite dans l’élevage, la pathologie subit le cycle oro-fécal décrit plus haut et provoque des réinfections successives et le portage chronique. D’après certaines études, 25% des chats seraient porteurs de coronavirus. Dans la plupart des cas, la maladie ne se développe pas, mais ce qu’il faut savoir, c’est que lorsqu’elle se déclare, elle est presque toujours fatale. Aucun traitement, aucun vaccin à ce jour en France.
Cette maladie existe sous deux formes : la forme sèche et la forme humide. Cette dernière est la forme la plus grave : la multiplication virale engendre l’accumulation de fluide dans l’abdomen ou le thorax du chat. Le chat peut également présenter de la fièvre, une certaine forme d’anorexie et d’atonie.








 



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